Le Grand Chimelgarros - première époque

Pour ces choses qui sont là

Cet enregistrement a été réalisé dans des conditions assez différentes des autres. Enregistré en re-re (instrument par instrument) dans ma chambre. La version d'origine était enregistrée avec Lucie au chant et nous avons fait une version en refaisant la voix avec Pascale.

Morceau d'intro (dit "l'intro")

Le morceau qui nous servait d'introduction dans les concerts. C'est un instrumental sans chant. Quand on pouvait, on demandait à ce que les lumières soient éteintes pendant la nappe de synthé du début et "lumière vive !" sur le "tantantantan ! " du début. Il faudrait qu'on retrouve la vidéo de la salle Patenôtre à Rambouillet. Trop bien avec les fumigènes.


Le planant

Le planant - nous avions un goût assez prononcé pour les titres à forte portée symbolique - est un instrumental chanté. Pascale chante, mais sans paroles. C'est genre méchamment influencé Pink Floyds. Je ne sais pas si vous connaissez Dark Side of the Moon, voyez ce que je veux dire ?...

La balance

[Thierry] La balance m'a été inspiré par plusieurs titres de l'album The Wall de Pink Floyd, l'intro a été transformée en funky double croches par Steven le batteur de l'époque, mais à l'origine le riff do dièse mineur Si4 est plus posé. Le passage Ré - La du refrain et la mélodie de chant "la vie..." est importée de l'ambiance emphatique de Gilmour et sa bande. Les paroles évoquent simplement la vie qui peut basculer sur un coup de dés, vous avez dit Pink F... ?


Camille

Ca c'est de la stéréo !

Morceau assez décousu dans l'ensemble. On entend bien que l'enregistrement est "live" : on entend la vibration du timbre de la caisse claire sous le son des autres instruments.


Regarde ceux-là partir

Morceau à l'origine composé intégralement par Thierry pour un "plan" auquel le groupe devait participer : des festivités de célébration du bicentenaire de la révolution française à la Grande Halle de la Villette. Si si, je vous jure. Ca ne s'est au final pas fait car entre temps l'organisateur est décédé, ou un truc dans le genre.